De Samara à Monteverde

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Aujourd’hui, nouvelle étape dans notre périple, on prend le départ pour Monteverde. Après un réveil sans se presser, le petit-déjeuner pris au bord de la piscine, on use des checkout tardifs ici pour profiter encore un peu de la piscine. Après quelques sauts, bombes, et autres éclaboussures, on se dit qu’il est temps de sortir. Avant de reprendre la route, on fait un tour en ville pour trouver quelques souvenirs à ramener. La séance shopping terminée, on reprend nos valises et faisons une halte dans une boulangerie pour s’acheter des sandwichs à manger en route.

On quitte donc Samara en fin de matinée direction Santa Elena et la foret du Monteverde. La route de montagne est frustrante pour notre chauffeur qui regrette la boîte manuelle mais heureusement ses heures passées à Colin McRae lui rappellent les bases. À mi-parcours, on s’arrête al Puente de Amistad con Taiwan pour faire une pause et manger nos sandwichs.

On ne s’éternise pas, et repartons afin d’arriver au plus vite. La fin de la route nous offre des paysages sublimes entre montagnes, océans, nuages et rayons de soleil traversants.

Nous arrivons à notre grande cabane dans la forêt de nuages de Monteverde.

Notre première impression est de noter que malgré le soleil, il pleut. Cela ne nous empêche nullement de retourner dans Santa Elena pour y prendre le goûter, des glaces et une bière, et pour y acheter de quoi se faire un apéro sur la terrasse.

En fin d’après-midi, Bertrand emmène Noémie se balader sur les sentiers du lodge afin de profiter un peu de l’endroit et de la vue. Pendant ce temps-là, Florie et Aurore se reposent tranquillement dans le hamac de la terrasse de notre hébergement.

Bon ce que nous n’avions pas anticipé c’est qu’il fait bien plus frais ici et que l’apéro ce sera à l’intérieur. Mais qu’importe, on profite d’un apéro à base de produits locaux avant d’aller diner au Bon appétit, un restaurant italien où nous dégustons pizzas et plats de pâtes. Il est temps de rentrer pour de reposer avant la journée de demain.

Plus d’infos sur la réserve naturelle du Monteverde (Source Lonely Planet)

Cette forêt tropicale d’altitude (forêt de nuages ou bosque nuboso), une étendue de forêt vierge de 105 km², doit en grande partie son superbe état de conservation à des quakers, qui ont quitté les États-Unis dans les années 1950 et ont contribué à la mise en place de mesures de protection environnementale avec les habitants de la région.

L’histoire est certes intéressante, mais ce qui l’est davantage, c’est la nature même de Monteverde, sorte de Pays imaginaire émergeant de la brume, où s’épanouissent les mousses espagnoles, les fougères et les broméliacées, où murmurent les cours d’eau et où palpite une vie foisonnante sous la végétation.

Categories: Voyage

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